Le 19 juin dernier, l’Institut de technico-économie des systèmes énergétiques(i-tésé), rattaché au Commissariat à l’énergie atomique (CEA), organisait une journée sur les nouvelles technologies dans la transition énergétique, dans le cadre du débat national sur la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Cette journée a déjà fait l’objet d’une synthèse par les organisateurs1, et l’objet est ici moins de faire un compte-rendu – qui serait forcément redondant – que d’apporter un point de vue « extérieur », en tant que doctorante travaillant sur le secteur des énergies renouvelables (EnR) et les questions de transition énergétique. On notera au passage que la journée a davantage porté sur les nouvelles technologies en elles-mêmes, abordées une à une lors des présentations. L’objet de cet article est donc de faire le lien entre les « nouvelles technologies » dont il a été question lors de cette journée et la « transition énergétique », qui fait l’objet d’un intérêt croissant,tant dans les recherches en sciences dites « dures »comme celles menées au CEA (qui, depuis 2009, est devenu « Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives »), qu’en sciences humaines et sociales. L’intérêt d’une plus grande synergie entre ces deux domaines a d’ailleurs été souligné à plusieurs reprises lors de cette journée.

 

Auteur: Sandra Renou

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