Ecouter Bruno Latour est toujours une expérience qui évoque une phrase de René Char : « J‟aime qui m‟éblouit, puis accentue l‟obscur à l‟intérieur de moi. » L‟exposé de Bruno dans l‟Église de Smyrne de Göteborg2, le 7 juillet 2011, ne fit pas exception : nous en sortîmes éblouis, et tous renfoncés dans notre nuit.

Auteur: Hervé Dumez

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